COMMÉMORATION DU 8 MAI : NE DÉTOURNONS PLUS LES YEUX FACE AUX HORREURS DE LA GUERRE

En ce 8 mai, nous nous rassemblons pour honorer la mémoire de ceux qui ont donné leur vie pour que nous puissions vivre dans la liberté et la paix que nous chérissons aujourd’hui.

Nous nous souvenons de ces hommes et de ces femmes, soldats sur le front, résistants dans l’ombre, civils endurant les horreurs de la guerre, dont les actes héroïques ont été la pierre angulaire de notre victoire contre la tyrannie et l’oppression.

Nous sommes les témoins vivants de leur courage, de leur détermination, de leur sacrifice.

Leurs noms sont gravés sur des monuments, mais c’est dans nos cœurs et dans notre Histoire qu’ils vivront éternellement.

Pour autant, je ne peux m’empêcher de ressentir une profonde inquiétude face à l’indifférence qui semble régner face aux conflits qui déchirent, encore aujourd’hui, notre monde.

Des milliers de vies sont perdues chaque jour, des familles sont déchirées, des communautés sont dévastées.

Regardons autour de nous, et observons les tensions qui perdurent entre l’Ukraine et la Russie, témoignant d’une Europe toujours en proie à l’instabilité et à la menace de conflits armés.

De même, les décennies de conflit entre la Palestine et Israël continuent de causer des souffrances indélébiles pour les populations civiles.

Des conflits qui perdurent, alimentés par la haine et l’ignorance.

Les vies perdues, les familles brisées, les maisons détruites, tout cela nous rappelle l’urgence d’une solution pacifique et durable à ce conflit séculaire.

Et pourtant, la société semble bien trop souvent aveugle, indifférente, insensible à la souffrance qui frappe à nos portes.

Il est de notre devoir, en tant que société, en tant que nation, de rompre ce cycle infernal pour faire preuve de compassion, de solidarité et de compréhension.

Tout comme, il est du devoir des instances internationales de nous protéger.

En ce sens, l’Union Européenne et l’Organisation des Nations Unies se doivent d’intervenir plus fermement pour demeurer fidèles à leurs vocations premières : œuvrer au maintien de la paix et défendre sans concession la protection des droits humains.

Mes chers amis, il est temps de nous réveiller de cette indifférence, de tirer les leçons du passé et de nous engager résolument pour un avenir meilleur.

C’est en nous unissant, en reconnaissant nos erreurs et en agissant avec détermination que nous pourrons honorer véritablement le sacrifice de ceux qui ont combattu pour notre liberté.

Notre avenir dépend de notre capacité à nous souvenir, à apprendre, à grandir ensemble.

Dans cette réflexion, retenons avec attention les paroles immortelles d’Albert Einstein qui disait : « Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal mais par ceux qui les regardent sans rien faire »

Rappelons-nous que notre responsabilité ne se limite pas à commémorer le passé et que nous sommes avant tout responsables de l’avenir que nous créons.

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La crise du logement en France est une problématique complexe qui nécessite une approche globale et des mesures concrètes. La réponse de l’Etat n’est aujourd’hui pas suffisante et les mesures annoncées jusqu’à présent montrent que le secteur n’a été entendu ni sur la crise du logement neuf ni sur les besoins en matière de rénovation énergétique. Plus que jamais, il faut revenir à ce qui marche : simplifier, décentraliser et déconcentrer la mise en œuvre des politiques du logement. Il faut un État stratège, un État qui fasse confiance aux élus locaux, tout à fait en capacité de se doter d’outils de diagnostic et de planification en fonction des besoins de leurs territoires.

Crise du logement

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